De la peinture moderne en face de la violence : Une étude comparative entre les peintres français et algériens en contexte de guerre, occupation ou oppression coloniale
Date
2022
Authors
Journal Title
Journal ISSN
Volume Title
Publisher
Producer
Director
Performer
Choreographer
Costume Designer
Music
Videographer
Lighting Designer
Set Designer
Crew Member
Funder
Rehearsal Director
Concert Coordinator
Advisor
Moderator
Panelist
Alternative Title
Department
Swarthmore College. Dept. of Modern Languages & Literatures
Type
Original Format
Running Time
File Format
Place of Publication
Date Span
Copyright Date
Award
Language
fr
Note
Table of Contents
Terms of Use
Full copyright to this work is retained by the student author. It may only be used for non-commercial, research, and educational purposes. All other uses are restricted.
Rights Holder
Access Restrictions
No restrictions
Terms of Use
Tripod URL
Identifier
Abstract
L’art moderne et sa tendance particulière à exprimer la dissidence sont apparus vers la fin
du XIXe siècle et se sont poursuivis bien après des guerres mondiales. Trouvant ses origines
dans l'exposition célèbre de Paris, le Salon des refusées de 1863, et suivi par le premier salon des
impressionnistes de 1874, la naissance de l’art moderne est considérée largement comme la
période où la peinture de France, et surtout la peinture de Paris, ont éclipsé la scène d’art
européenne. Gertrude Stein, dans ses lignes d'ouverture de son livre songeur de Pablo Picasso,
exprime cette notion : « Painting in the 19th Century was only done in France by Frenchman,
apart from that, painting did not exist, in the twentieth century it was done in France but by
Spaniards, » (Stein 1). Ce qui est important dans ces remarques de Stein est qu’elle commence
avec une résolution forte sur la France comme le centre du monde artistique, même pour Picasso,
qui est maintenant considéré une figure principale de la scène artistique de Paris pendant le
XXème siècle.